« Mon métier c’est d’expliquer aux justiciables les subtilités de cette grande machine, de les assister pour que la justice n’oublie jamais qu’avant de juger des faits ou des dossiers, c’est « l’Homme » qui doit rester au centre des débats. »
Avocate associée à Valenciennes
Née le 9 avril 1982 à Créteil et d’origine normande, j’ai suivi mes études universitaires à la faculté de Droit de Caen jusqu’en master 2 de droit contentieux privé avec spécialisation en droit processuel.
J’ai obtenu mon Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat en décembre 2008 à l’Ecole des Avovats du Grand Ouest.
Pendant cette scolarité, j’ai effectué mes stages au sein du Cabinet de Maîtres PÊTRE-RENAUD, RICHE & BROYART.
Après l’obtention de mon diplôme, mes maîtres de stage ont décidé de me garder comme collaboratrice. Puis en janvier 2012, mes actuels associés ont renouvelé la confiance qu’ils m’accordaient en m’intégrant au sein de leur Cabinet.
Je dois dire que j’ai eu beaucoup de chance d’intégrer cette structure avec des associés avec lesquels nous partageons
la même vision de cette profession et des secrétaires passionnées qui, malgré la pression, la charge de travail, et parfois même notre humeur, sont toujours disponibles et réactives.
Dans le cadre de mon activité, je m’occupe essentiellement du contentieux en droit de la famille (divorce, garde d’enfant….)
mais aussi des audiences par devant les juges des enfants, tant au civil (assistance éducative, placement judiciaire) qu’au pénal.
Bien évidemment, il m’arrive très souvent de plaider par devant les Tribunaux Correctionnels et Cour d’Appel, d’intervenir en garde à vue, mais aussi de rendre très régulièrement visite à mes clients en Maisons d’Arrêt et Centres Pénitentiaires.
Ce métier est bien le métier le plus beau du monde…
J’ai toujours voulu exercer une profession au service des autres.
Or, toute personne peut, un jour ou l’autre être confrontée à la justice, à cette grande institution judiciaire.
Et mon métier, c’est d’expliquer aux Justiciables les subtilités de cette grande machine, de les assister pour que la Justice n’oublie jamais qu’avant de juger des faits ou des dossiers, c’est « l’Homme » qui doit rester au centre des débats .
En effet, ces Hommes sont souvent seuls contre tous et j’ai prêté serment d’apporter mon concours à la justice pour que
ces derniers puissent être jugés en tenant compte de tous les éléments de leur vie les plus mauvais comme les meilleurs.
Même si ce métier induit des sacrifices, je ne pourrais et ne saurais exercer une autre profession que la mienne.